La Veillée pascale
C’est la plus sainte de toutes les veillées. La grande histoire du salut de Dieu se dit dans trois rites : la lumière, l’eau et le rite de l’offrande du pain et du vin. Christ lumière est l’ultime manifestation du salut de Dieu, lequel a noué amitié avec les humains au fil des siècles par le peuple d’Israël. Christ lumière, Christ Parole, se donne en plénitude dans l’Eucharistie. En ce temps dramatique – mais où l’être humain parfois se dépasse – la communion « spirituelle », de désir, nous fait participer à sa Pâque. La Pâque est tout à la fois “passage” de Jésus vers son Père et inscription définitive de son “passage” sur notre terre : l’Évangile.
● Suivre la messe avec RCF et Facebook
Pour le diocèse de Luçon – et donc pour la paroisse Saint-Philbert-en-Noirmoutier – un seul office est retransmise sur RCF Vendée (FM 88) et sur le site du diocèse de Luçon et sa chaîne Youtube à 21h.00 : Veillée à la cathédrale de Luçon
Elle est célébrée par Monseigneur Jacolin.
Les Vendéens sont invités à se joindre par la prière à la célébration et à la vivre au plus près, en démarrant chez eux uniquement à la lumière des bougies (il n’y a pas de feu sur le parvis de la cathédrale).
Nouveauté ! Grâce à la Coordination de la Pastorale des Sourds de France (CPNS),les personnes sourdes et malentendantes peuvent suivre la Vigile Pascale qui est retransmise à 21h avec la Pastorale des Sourds du Morbihan ici : Vigile avec les sourds
● Célébrer sans RCF et Facebook
Une proposition de prière seul-e ou en famille est disponible. Pour la Vigile Pascale, deux versions vous sont proposées :
Une plutôt à destination des familles : Vigile pour familles
L’autre plutôt à destination de tous : Vigile pour jeunes et adultes
● Pour réfléchir et méditer
“Fête de pèlerinage célébrée à Jérusalem, la Pâque (en hébreu Pessah) a lieu au printemps et commémore la sortie d’Égypte (Deutéronome 16,1-8). Elle commence le 14 du mois de Nisan (mars-avril) par un banquet familial qui dure toute la nuit autour d’un agneau immolé rituellement au Temple. Elle se poursuit par une semaine où l’on consomme des pains sans levain. Il y a dans cette fête de la joie, du drame, de la hâte aussi et l’étonnement toujours renouvelé d’être libre et vivant…”
Pour lire la suite : La nuit du grand passage